Fort du succès de la Rétrospective de 2021, Monoprix poursuit l’héritage de Prisunic en proposant de nouvelles rééditions de design cultes issues des catalogues de la célèbre enseigne mais aussi de nouvelles pièces d’inspiration seventies.
C’est en 1968 que la chaîne de magasins Prisunic se lance dans une expérience inédite et devient éditeur de mobilier au design contemporain en collaboration avec des créateurs reconnus. Faute de place dans les magasins Prisunic, c’est via un catalogue à la présentation innovante, immersive et décalée que les mobiliers sont vendus. L’intention de Prisunic “était de mettre à la disposition du grand public des meubles véritablement contemporains à des prix accessibles” explique Francis Bruguière, chef du service catalogue Prisunic de 1968 à 1973.
En 2023, pour cette seconde édition, les créations iconiques de Gae Aulenti, d’Odile Mir et du Studio de design Prisunic reprennent vie avec la même intention de les proposer à un prix accessible au plus grand nombre. Stéphane Tissinier décline également le graphisme de son père Jacques Tissinier sur un tapis aux dimensions généreuses. Jean Pierre Garrault, designer foisonnant s’inspire de ses archives personnelles des années 70 pour créer une série d’objets pop : tabourets, vaisselle, et lampe dont une co-créée avec son ancien associé, le designer Henri Delord.
En vente exclusivement sur Monoprix.fr et au Pop-up store Prisunic
Du 8 au 17 décembre 2023
11h30-19h30
116, rue de Turenne
75003 Paris
C’est en 1968 que la chaîne de magasins Prisunic se lance dans une expérience inédite et devient éditeur de mobilier au design contemporain en collaboration avec des créateurs reconnus. Faute de place dans les magasins Prisunic, c’est via un catalogue à la présentation innovante, immersive et décalée que les mobiliers sont vendus. L’intention de Prisunic “était de mettre à la disposition du grand public des meubles véritablement contemporains à des prix accessibles” explique Francis Bruguière, chef du service catalogue Prisunic de 1968 à 1973.
En 2023, pour cette seconde édition, les créations iconiques de Gae Aulenti, d’Odile Mir et du Studio de design Prisunic reprennent vie avec la même intention de les proposer à un prix accessible au plus grand nombre. Stéphane Tissinier décline également le graphisme de son père Jacques Tissinier sur un tapis aux dimensions généreuses. Jean Pierre Garrault, designer foisonnant s’inspire de ses archives personnelles des années 70 pour créer une série d’objets pop : tabourets, vaisselle, et lampe dont une co-créée avec son ancien associé, le designer Henri Delord.
En vente exclusivement sur Monoprix.fr et au Pop-up store Prisunic
Du 8 au 17 décembre 2023
11h30-19h30
116, rue de Turenne
75003 Paris
Diplômée de l'École polytechnique de Milan en 1953, Gae Aulenti, pionnière du design italien et célèbre pour ses créations comme sa lampe Pipistrello”, est aussi connue pour avoir aménagé dans les années 1980 les intérieurs des musées d'Orsay et Beaubourg. C’est en 1970 qu’elle s’associe avec la chaîne de magasins Prisunic. Durant cette expérience inédite, Gae Aulenti conçoit un ensemble de petit mobilier en métal laqué et chromé qui est aujourd’hui devenu culte. En 2023, Monoprix réédite la table et la chaise ainsi qu’une déclinaison inédite en version tabouret dans trois coloris intemporels: orange, blanc et chromée.
Artiste, peintre, designer, Jean Pierre Garrault est un créateur foisonnant touche à tout. Designer et directeur artistique pour des marques d’ameublement dans les années 1960, c’est en 1970 qu’il est sélectionné par Prisunic pour son canapé modulaire blanc en mousse de polyuréthane. Cette pièce exceptionnelle fera la couverture du catalogue de vente par correspondance de mars 1971.
Pour Monoprix, après le succès de ses rééditions en 2021, Jean-Pierre Garrault puise une nouvelle fois dans ses archives personnelles des années 70’s et décline son univers fait de compositions géométriques, colorées et graphiques sur toute une série de nouveaux objets hautement désirables : tabourets, tapis, lampe et même de la vaisselle.
Pour Monoprix, après le succès de ses rééditions en 2021, Jean-Pierre Garrault puise une nouvelle fois dans ses archives personnelles des années 70’s et décline son univers fait de compositions géométriques, colorées et graphiques sur toute une série de nouveaux objets hautement désirables : tabourets, tapis, lampe et même de la vaisselle.
C’est en 1970 que les deux créateurs s’associent pour former un duo qui marquera le design Français. Leur travail se concentre sur des luminaires,
du mobilier, et de l’architecture intérieure. Leurs créations se caractérisent par des couleurs éclatantes ainsi que des lignes graphiques et rythmées.
Ensemble, ils créent une série de luminaires, aujourd’hui devenu culte dont le célèbre lampadaire « Sol au plafond » en 1971 qui se compose d’un globe lumineux monté sur une structure métallique reliant le sol et le plafond.
Exceptionnellement pour cette deuxième édition autour du design Prisunic, le duo d’artistes accepte que Monoprix réédite une des pièces de cet ensemble : une lampe en métal et verre à poser au sol.
Exceptionnellement pour cette deuxième édition autour du design Prisunic, le duo d’artistes accepte que Monoprix réédite une des pièces de cet ensemble : une lampe en métal et verre à poser au sol.
Odile Mir est artiste-sculpteur, nombre de ses œuvres graphiques et sculptées sont entrées dans les collections nationales. Dans les années 70, elle fait partie des rares femmes designer à avoir fait partie des créateurs édités par Prisunic. Des pièces devenues cultes qui sont ré-éditées pour la première fois par sa petite-fille, Léonie Alma Mason, architecte d’intérieur, sous l’égide de LOMM Editions.
Pour Monoprix, LOMM Editions prête trois modèles d’assises et luminaires, intemporels, issus des archives de l’artiste. Odile, créatrice prolifique, dessine également pour l’occasion une toute nouvelle pièce, un tapis pop et graphique.
Pour Monoprix, LOMM Editions prête trois modèles d’assises et luminaires, intemporels, issus des archives de l’artiste. Odile, créatrice prolifique, dessine également pour l’occasion une toute nouvelle pièce, un tapis pop et graphique.
Jacques Tissinier est un peintre et sculpteur reconnu dans les années 1960 pour ses « Tissignalisations », des créations graphiques aux motifs géométriques et aux couleurs primaires inspirées des panneaux de signalisation routière. Toujours porté par l’idée de rendre l’art accessible au plus grand nombre, c’est en 1974 qu’il travaille avec Prisunic. La célèbre enseigne proposera à la vente dans son catalogue une déclinaison de ses motifs sur du mobilier de jardin en tôle émaillée. Aujourd’hui en 2023, c’est Stéphane Tissinier, son fils, artiste également qui honore l’héritage de son père en dessinant un tapis XXL reprenant un de ces motifs pop en rouge et blanc.
À découvrir au pop-up store Prisunic du 8 au 17 décembre au 116 rue de Turenne 75003 PARIS
et sur Monoprix.fr à partir du 7 décembre 2023
toutlà-haut